compensation

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Compensation



Tendance moderne de la GHFI; agir par compensation : on choisit un maillon clair pour corriger des éléments sombres, un câble qui éteint l’aigu pour adoucir une enceinte qui projette, un caisson de grave pour nourrir une anémie, on sélectionne un (mauvais) ampli à tube pour donner de la "chaleur" (traduisez de la lourdeur) à un lecteur trop analytique, ou un préampli qui pousse pour réveiller un ampli plan-plan… Bref, du n’importe quoi : espère-t-on respecter la vérité par une succession de mensonges ? Théorie philosophiquement intéressante, mais en pratique… mmhhh pour le moins discutable…


Et si on apprenait à adopter des éléments sains ! Une suite d’éléments sains, qui ne jouent pas avec le centre de gravité spectral, ne planquent pas des zones dérangeantes ou ne rajoutent pas des couleurs jolies, représente un meilleur chemin vers l’authenticité, point final !

Démarche qui inclut les câbles, ces honteux fomenteurs de canulars, ces complices du grand n’importe quoi ! Un câble est un coursier, pas un interprète ! Le seul problème est qu’il serait sans doute difficile de justifier 2 millions de références si on savait réaliser des câbles qui ne font pas joujou avec le signal ! Sans tomber bien sûr dans l’autre extravagance du 2,5 mm² d’électricien qui devrait représenter la seule vérité ! N’exagérons rien non plus.


Car il est bien là le vrai souci : penser, concevoir, fabriquer des éléments droits ( au sens d’honnêtes ) est beaucoup plus difficile que de s’accommoder de petits mensonges. Alors on compense…


Et comme expliqué ailleurs : la compensation, ça relève de la psychanalyse !


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